Jonathan Binet & Martin Laborde
Re: Yellow Cabin Saturday Night Remittent Fever
Martin et Jonathan,
Je suis content qu’il vous plaise mais ce poème n’existe pas.
Sauf s’il tient tout entier dans son titre. Ou plutôt son nom.
Je me suis un peu arrêté là.
Après Wiki enquête, c’est celui d’une maladie équivoque mais aigüe:
des fièvres inconstantes de grands singes, une histoire de teint, et aussi de confinement,
et celle de Tony, dans le film, quand il danse au 2001 Odyssey à Bay Ridge, après des plombes à la quincaillerie.
Sa température fluctue en petits créneaux toujours un peu trop hauts.
Ce poème n’existe pas mais il est disponible.
J’espère vous voir cet hiver,
Charles Veyron
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Re: Yellow Cabin Saturday Night Remittent Fever
Martin, Jonathan,
Thanks, I’m glad you like the poem but it doesn’t exist.
Unless it only consists in its title. I mean its name. Cause it didn’t get much further in my hands than a fucking name.
According to Wikipedia, it should refer to an equivocal yet acute disease:
variable fevers affecting primates, something to do with complexion, and confinement too,
and with Tony, in the movie, when he dances at 2001 Odyssey, in Bay Ridge, after his shift at the hardware store.
Its temperature fluctuates in the shape of tiny crenels, a bit above normal.
This poem doesn’t exist but it’s available.
Hope to catch up this winter,
Charles Veyron